A l’origine, l’église paroissiale Saint-Martin était située à l’emplacement approximatif de la Halle au Blé actuelle.
Parallèlement et à partir du XIème siècle s’est développé un autre sanctuaire avec sa propre église : le Prieuré Bénédictin Notre-Dame.
Durant la guerre de Cent Ans le monastère et son lieu de culte furent incendiés et dans la seconde moitié du XVème siècle, les moines entreprirent la reconstruction des bâtiments détériorés.
Les deux sanctuaires subirent d’importants dommages lors de la Révolution. C’est pourquoi, l’église du Prieuré, jugée en meilleur état, fut rendue au culte du Concordat.
En 1813 l’ancien chœur de l’église du Prieuré, qui constitue l’abside actuelle, fut restauré aux frais des Princes d’Espagne, en reconnaissance de la guérison de leur mère, l’ex-reine Maria-Luisa, alors qu’ils étaient prisonniers au château de Valençay.
Les travaux de restauration de l’église reprirent vers 1834 sous l’instigation de Talleyrand et de sa nièce Dorothée de Dino qui firent élever un clocher inspiré de celui de l’église Saint-Martin de Vevey en Suisse.
La Duchesse de Dino commanda une grande verrière en remplacement des vitraux du XVème et XVIème siècle, représentant en haut Sainte Dorothée et en bas les armoiries des Talleyrand-Périgord et des Princes de Courlande avec leurs devises respectives : Re Que Diou (Rien que Dieu) et Spero Lucem (J’espère la lumière).
Pendant cette restauration, les ouvriers retrouvèrent deux cercueils dont un contenant les ossements de Louis d’Estampes, châtelain de Valençay au XVème siècle.
En 1862, l’édifice subit des transformations avec le raccordement de la nef sur le chœur.
Le Bourg de l’Eglise s’est développé et est devenu très actif depuis l’apparition du monastère au XIème siècle. À l’heure actuelle, l’église Saint-Martin, qui donne le ton à ce quartier, reste l’âme de cette petite agglomération valencéenne.
La filature est située sur la rivière du Nahon, au pied des vignes du château.
Elle a été fondée au XVIIIème siècle par Charles Legendre de Villemorien, Comte de Luçay, fermier général du Roi et Préfet du Palais de l’Empereur, pour en faire une filature de laine qui deviendra finalement une filature de coton, pour répondre aux besoins du Pays.
Une roue hydraulique actionnée par les eaux de la rivière servait initialement à acheminer celles-ci jusqu’au château. Elle servit ensuite de moteur principal à la filature de coton qui employait vingt-cinq habitants du pays et une cinquantaine d’autres, dont des enfants abandonnés qui pouvaient travailler de 15 à 16 heures par jour.
La fabrique produisait des bas, des pantalons et des bonnets de coton. Elle rivalisait par sa qualité avec les plus grandes bonneteries étrangères, tandis que la tissanderie fabriquait des bassins, des mousselines, des mousselinettes, des velours, des draps, des toiles de coton, des cotonnades et des siamoises.
Comprenant cinq étages à l’origine, elle comportait à son apogée une soixantaine de métiers à filer et à tisser.
Suite à un incendie au début du XIXème siècle elle n’a gardé que trois étages.
En 1822, le Duc de Valençay, propriétaire de la filature de laine, mit en service une machine à vapeur à haute pression avec condenseur et balancier, destinée aux mouvements des cordes et des broches.
Une centaine d’ouvrières travaillaient à la filature jusqu’en 1830.
Bien que n’étant plus à la pointe du progrès technique, l’atelier confectionnait encore des bas, des jupons et des gilets de coton dans les années 1840.
L’usine de la filature fut touchée par le chômage en 1858 car la bonneterie et la filature avaient beaucoup perdu de leur importance.
La création d’un établissement employant une centaine de personnes et autant de machines à coudre en 1860 sonna le glas de la filature.
Réhabilitée dans la seconde moitié du XXème siècle, elle servit ponctuellement de lieu d’exposition à côté du Relais du Moulin.
Construite en 1901, son architecture en pierre de tuffeau est nettement influencée par le style du château.
C’est le Duc de Valençay qui fit don du terrain et se chargea à ses frais de sa construction.
La ligne fut inaugurée en 1902, après que le Duc eut exigé que Valençay soit tête de ligne auprès de la compagnie de chemin de fer « Paris-Orléans ».
La gare fut inaugurée en 1903, ainsi que la ligne du Blanc-Argent, en abrégé « BA » et du tramway de Châteauroux à Valençay.
Petite ligne à voie métrique, le BA desservait une quarantaine de villes et villages.
En 1910, avec une vitesse moyenne de quinze kilomètres à l’heure, il fallait au bas mot quatorze heures aux voyageurs pour parcourir la ligne de bout en bout.
La même année, la gare de Valençay fut dotée d’une halle à marchandises de type plus classique, indépendante du bâtiment voyageur, ainsi que d’un quai découvert de deux parties travées portées plus tard à quatre.
Pendant la guerre 1914-1918, les locomotives à vapeur du BA furent mises à contribution pour le transport de matériel, mais les inconvénients propres à la voie étroite (capacité réduite des convois, transbordement obligatoire des marchandises) amenèrent les pouvoirs publics à demander la mise à voie normale d’une partie de la ligne, mais en 1928, cette opération sera définitivement refusée à cause de son coût trop élevé.
Au cours de la guerre 1939-1945, la ligne de démarcation perturba l’exploitation du réseau.
De la fin de la guerre à 1953, la ligne du BA dut faire face à la renaissance de la concurrence routière. Après l’utilisation de locomotives diesels – électriques, elle bénéficia de la mise en service d’autorails tout neufs.
Les années suivantes, la ligne, déjà fermée sur certaines sections, sera menacée d’abandon.
Actuellement, le trafic de voyageurs est maintenu avec la ligne touristique durant l’été et le transport des collégiens, depuis Romorantin-Lanthenay jusqu’à Luçay-le-Mâle via Valençay, durant toute l’année scolaire.
C’est en 1993 que le bâtiment-voyageurs et une partie des annexes de la gare furent inscrits au registre des monuments historiques.
Un aménagement des abords de la gare a redonné un attrait touristique à ce lieu.
Aujourd’hui propriété privée, ce pavillon de chasse faisait partie du domaine du château.
De style rustique à l’italienne (il imite les effets de polychromie des fabriques rurales d’Italie), son plan en demi-lune prolonge les perspectives du château et de son parc.
Construit sous l’instigation de Talleyrand, il aurait été inspiré par Jean-Augustin Renard en 1805-1806. Mais la disparition de celui-ci en 1807 laisse à penser que ce pavillon pourrait être l’œuvre de son successeur Jacques-Charles Bonnard, puisque sa présence sur le cadastre n’intervint qu’en 1813.
Ce pavillon fut un lieu de distraction pour les Princes d’Espagne en exil qui s’y adonnaient à la chasse au lapin. Après leur départ, il servit de lieu de réceptions et de festivités.
A la mort de Talleyrand, il redevint un rendez-vous de chasse jusqu’au début du XXème siècle.
Ce type de logis était à la mode à la fin du XVIIIème et au début du XIXème siècle.
La rareté de ce genre de réalisation lui donne une valeur exceptionnelle, c’est pourquoi, en 1992, il fut inscrit à l’inventaire supplémentaire des bâtiments historiques.
La Place de la Halle contient deux éléments qui ont marqué l’histoire de la ville de Valençay :
La halle au Blé :
La Halle au blé se situe sur l’emplacement de l’antique Eglise Saint-Martin, et la place correspondait à l’ancien cimetière.
Après la Révolution, l’édifice, fortement dégradé, fut rasé et remplacé par une halle en bois dont la couverture était faite de chaume et le sol de terre battue. Elle était la propriété du Châtelain.
En 1808, la municipalité acheta ce bâtiment au Prince de Talleyrand-Périgord, Seigneur de Valençay.
Suite à un incendie, elle fut reconstruite en 1875, en pierre et en ardoise. Un Clocheton fut érigé en son centre, celui-ci était actionné par le Garde-champêtre, pour annoncer le commencement des transactions.
En 1883, des grilles de fer forgé furent installées au niveau des ouvertures et des baies pour protéger la halle des pillages.
En 1989, elle bénéficia d’une rénovation grâce à un programme de travaux de l’OPAH (Opération Programmée d’Amélioration de l’Habitat).
En 1990-91, ce fut au tour de la Place d’être réaménagée, l’architecte en charge du projet ayant dû tenir compte de plusieurs contraintes : conserver un maximum de places de stationnement tout en rendant l’espace agréable pour les piétons sans entraver la circulation automobile.
Jusqu’à la seconde guerre mondiale, la première fonction de cette halle était le commerce de grains, désormais elle abrite le marché le mardi matin, et accueille occasionnellement des expositions et autres manifestations.
La Fontaine :
Dans les années 1830, la ville de Valençay fut victime de deux incendies, ce qui souleva le problème de l’aménagement d’une réserve d’eau.
En 1833, les habitants de la ville réclamèrent le forage d’un puits avec un bassin sur la Place des Etaux (maintenant Place Talleyrand).
C’est alors que le roi Louis Philippe autorisa la ville à baisser l’impôt des habitants pendant six ans pour le financement du forage du puits.
Puis en avril 1897, le Duc de Valençay apporta une contribution pour l’entretien d’une fontaine. L’année suivante la construction de celle-ci commença sur la Place des Etaux, elle sera surmontée par la suite d’un sujet représentant un bambin de bronze.
Au fil du temps, la municipalité fut contrainte de faire déplacer la fontaine. Elle la fit installer dans la cour de l’hôpital et mit à sa place un buste de Talleyrand d’où le changement du nom de la Place en « Place de Talleyrand ».
Lors de la réhabilitation de cette place en 1990-91, la fontaine fut déplacée et installée sur la Place de la Halle.
C’est en 1863 qu’apparut le premier hospice Saint Charles dans l’ancienne caserne de la gendarmerie, sur les terres du prieuré » Notre Dame de Valençay », qui avait dû avoir un rôle de soin et d’asile.
En 1937, grâce à de généreux donateurs, dont Antoine Thuret, Maire de Valençay, les anciens bâtiments furent démolis pour construire l’hôpital hospice. Après deux ans de travaux, les résidents purent profiter d’aménagements fonctionnels et novateurs tels que l’ascenseur, les salles de soins, une salle d’opérations et d’accouchements…
Le 28 mai 1939, l’hôpital hospice fut inauguré en grande pompe. Toute la ville était parée de décors de fleurs. Un défilé de chars fut applaudi par la population locale et cette journée de fête se termina par un grand banquet.
Avec l’arrivée de la guerre, l’hôpital fut le théâtre d’évènements tragiques. En effet, le 16 août 1944, un groupe de soldats allemands investit les locaux à la recherche de résistants. C’est grâce à la présence d’esprit des sœurs et de la femme d’un maquisard, qui firent croire que l’hôpital n’était qu’une maternité en présentant un nouveau-né, que les Allemands quittèrent les lieux sans représailles.
Dans la nuit du 9 au 10 septembre 1955, un incendie provoqué par un fer à repasser négligemment abandonné, détruisit en partie l’établissement (les combles et la toiture).
Deux plaques de marbre apposées dans le hall d’entrée et épargnées par l’incendie témoignent de l’histoire de l’hôpital de Valençay.
De nouveaux bâtiments seront reconstruits et des améliorations apportées avec un troisième niveau de soin.
Pendant près d’un siècle, les Filles de la Croix assurèrent le fonctionnement de l’hospice jusqu’en 1970. Puis l’établissement passa sous l’autorité d’un Conseil d’Administration présidé par le maire en 1978.La nécessité d’ajouter à l’hôpital une maison de retraite s’imposera un an plus tard. A celle-ci s’ajoutera la Maison de Retraite « Duchesse de Dino » en 1994 et un peu plus tard la maison médicalisée « le Nahon ».
Maire de Valençay de 1826 à 1831, le Prince de Talleyrand-Périgord fit don à la ville d’un terrain en 1836, alors qu’il était Conseiller Général, pour établir une mairie, un tribunal de la justice de paix et une école pour les jeunes garçons.
Préalablement située dans le quartier du Bourg de l’Eglise, la mairie était devenue, par manque de place, inadaptée à la gestion des affaires communales.
C’est en mai 1843 que débuta le chantier de construction des bâtiments actuels (dans la rue de Talleyrand), élevée sur deux étages, en pierre de Tuffeau, avec un balcon central et une cour en façade qui est fermée par de grandes grilles en fer forgé. Une horloge sera fixée en 1876 sur son fronton à jour.
Durant la seconde guerre mondiale, la mairie n’eut à souffrir d’aucun dégât si ce n’est qu’une partie des archives fût brulée.
C’est en 1990 que le Conseil Municipal décida son agrandissement en y incorporant la Salle Pierre de la Roche (ancienne école des garçons).
L’histoire de la Maison de la Charité est étroitement liée à celle du château et de Talleyrand.
En 1818, ce dernier sollicita Sainte Elisabeth Bichier des Ages, fondatrice des Filles de la Croix, pour construire la maison ainsi qu’une chapelle.
A la fin des travaux en 1820, cette maison, grande et belle pour l’époque, avec une cour et un jardin, convenait parfaitement aux religieuses pour y éduquer les petites filles dans « l’amour du travail ». Elle comprenait des ateliers ainsi qu’une chapelle, lieu de recueillement, qui se distingue par son intérieur en lambris, son mobilier de chêne sculpté et ses vitraux.
Talleyrand ne manqua pas de faire visiter l’établissement à ses hôtes et amis de passage tels que Monseigneur Mannay, Evêque de Rennes, et Monseigneur de Villèle, Archevêque de Bourges. D’ailleurs en octobre 1834, le Duc d’Orléans et sa suite remarquèrent la bonne tenue du petit couvent.
La même année, la princesse Tyszkiewicz, qui avait longtemps séjourné au château, fut inhumée dans le sol de la petite chapelle des Sœurs, selon le souhait de Talleyrand et de sa nièce.
À son tour, Talleyrand décida d’y être inhumé et fit creuser une large crypte sous le chœur de la Chapelle une année avant sa mort.
Le 17 mai 1838, il expira à Paris assisté par l’abbé Dupanloup. Son corps fut ramené à Valençay ainsi que celui d’Archambaud son frère et de Yolande de Périgord décédée en 1836 à l’âge de trois ans. Quatre ans plus tard c’est le corps de Charlotte Dorothée qui fut descendu dans le caveau de la Chapelle. En 1910 Charles Guillaume de Talleyrand-Périgord, Duc de Valençay y rejoignit son épouse la Baronne Sellier, Duchesse de Talleyrand décédée en 1905.
Cette même année, la séparation de l’Eglise et de l’Etat entraîna la fermeture de l’école. Pendant plusieurs années, les sœurs sacrifièrent leur habit religieux pour continuer leur œuvre. Après leur mort, des éducatrices laïques continuèrent l’œuvre des sœurs.
C’est en 1935 que les filles de la Croix revinrent à Valençay pour reprendre la maison.
Pendant la dernière guerre, le 16 août 1944, la chapelle et l’école furent incendiées lors des représailles allemandes. Les sœurs furent alors contraintes d’enseigner, durant une dizaine d’années, dans la salle paroissiale. La maison ainsi que la chapelle seront reconstruites au début des années cinquante.
En 1952, le dernier Duc de Valençay retrouva ses ancêtres dans la crypte.
Sur le fronton du portail d’entrée une inscription indique que cette Maison de Charité fut fondée par Talleyrand.
Après des travaux importants de rénovation et de sécurisation, la dépouille du Prince de Talleyrand fut remontée le 08 mars 2010 de la crypte au chœur de la chapelle, lui permettant ainsi de passer de l’ombre à la lumière.
Depuis le 22 mai 2010, jour de l’inauguration du tombeau de Talleyrand, les visiteurs peuvent se recueillir et s’informer sur sa vie et son œuvre dans un lieu totalement réhabilité et d’accès libre.
Le S.O.E. (Spécial Opération Exécutive) était un service britannique formé en juillet 1940, au lendemain de la défaite de la France. Son but était d’encourager la Résistance des populations civiles en « Europe Occupée » par les Nazis et de promouvoir le sabotage et la subversion.
La formation du S.O.E. fut inspirée par Winston Churchill, alors Premier Ministre Britannique, qui lui apporta son soutien continu jusqu’à sa dissolution en 1946, mission accomplie.
Les opérations du S.O.E. en France étaient dirigées par deux sections territoriales basées à Londres :
– la Section « F » sous contrôle britannique et strictement politique ;
– la Section « RF » en rapport avec le quartier des français libres du Général de Gaulle.
Au centre de la France, à Valençay, la forêt de Gâtines, en 1943-1944, abritait environ 3 500 maquisards bien encadrés, avec parmi eux des Officiers Anglais parachutés qui recevaient des ordres et des messages de la France Libre à Londres. Ainsi plus de 40 parachutages, représentant 60 avions avec environ 240 tonnes d’armes, de munitions et d’équipements, parvinrent aux clandestins.
Toutes les missions, tous les parachutages, n’ont pas réussi : des aviateurs, des paras furent abattus, certains retrouvés morts et d’autres fusillés.
Aussi, fidèles à l’esprit de la résistance, avant de disparaître, les gens de l’ombre ont voulu laisser, afin que nul n’oublie, un monument qui rappelle le sacrifice des 126 agents Britanniques, Mauriciens, Belges, Polonais et Français disparus. Il fut alors décidé que Valençay, lieu des premières actions de la Section F, serait le siège de ce monument. Une association de soutien fut constituée afin de collecter les fonds nécessaires et superviser la construction. La ville de Valençay offrit le très beau site de « la Robinerie », et le Conseil Général de l’Indre approuva très vite le projet, apportant ainsi son aide.
« La Robinerie » se situant à l’extrémité de la route de Blois, fut baptisée avenue de la résistance par le Ministre de la Reconstruction, le 18 septembre 1949 en remettant la croix de guerre à la ville de Valençay. Le Comité chargé d’ériger le monument fut placé sous la présidence d’honneur de sa Majesté la Reine Elisabeth d’Angleterre, veuve du Roi George VI, du Président de la République François Mitterrand représenté par Monsieur André Méric, Secrétaire d’Etat aux Anciens Combattants, de Pierre Renard, Maire de Valençay, Vice-président du Conseil Général de l’Indre et de Jean-Bernard Badaire, Président de l’Association pour l’édification.
Le Monument : une colonne noire et une colonne claire de huit mètres de hauteur chacune, surmontées d’une sphère à demi éclairée, symbolisant l’attente au clair de lune d’une opération de parachutage. Le Mémorial de la Section F fut inauguré le 6 mai 1991, par Monsieur André Méric, Secrétaire d’Etat aux Anciens Combattants, en présence de la Reine Mère, sa Majesté la Reine Elisabeth.
C’était le jour du cinquantième anniversaire de l’envoi en France du premier agent de la Section F. Le 16 décembre 1991, l’Association Nationale pour l’édification du Mémorial fut dissoute après avoir fait don du Monument à la ville de Valençay.
Le 6 mai 2008, lors du 17ème anniversaire de l’édification du monument, la Princesse Anne de Grande-Bretagne nous a fait l’honneur de sa visite pour la commémoration annuelle. (Bulletin Libre Résistance n°23).